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 CARL JOHN HYDE - who want a new life?

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AuteurMessage
Carl J. Hyde
Carl J. Hyde
English teachers &acriminalmind


Messages : 317
Date d'inscription : 25/04/2010



CARL JOHN HYDE - who want a new life? Vide
MessageSujet: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? EmptyDim 25 Avr - 16:29

Il était une fois...

CARL JOHN HYDE - who want a new life? Vrusse20 CARL JOHN HYDE - who want a new life? Vrusse21
Hyde - Carl John – 40 ans - New-Yorkais
Citation

Histoire -
UNE ENFANCE CLASSÉE SECRET DÉFENSE ou encore « jenenparlepas.com »


    Je ne peux pas dire que j’ai eu une enfance malheureuse. Et pourtant, lorsque j’y songe ce n’est jamais en hurlant de bonheur. Il faut dire qu’une partie fut pour moi une véritable enfance parfaite. Mais que l’autre vient gâcher ce magnifique tableau de manière tragique. Vous ne vous imaginez pas à quel point. Mes parents étaient des fermiers. Mon père, John était un homme rude mais aimant. C’était mon mentor, mon modèle. Ma mère Keila était une femme douce et bonne. Un ange, c’est le seul terme qui me vient à l’esprit et surtout le plus approprié. Ma sœur s’appelait Jessika.

    « Du moins, elle s’appelle toujours ainsi. Hm, je crois, tout cela pour dire qu’elle n’est pas morte mais que je ne l’ai jamais revue en personne. Elle a une famille maintenant, à ce qu’il parait. »

    Nous étions une famille heureuse, ordinaire. Nous n’étions pas riches mais nous n’avions pas besoin de plus d’argent. La cupidité rend fou. Ce fut la déchéance de mon père… Je n’avais que douze ans lorsque notre vie est soudainement devenue « plus agréable » mon père ramenait davantage d’argent. Nous ne savions pas pourquoi mais il nous apportait des cadeaux alors nous ne posions pas de questions. Mais il y avait toujours ces crises avec notre mère, et comme c’était la première fois que nous devions supporter des chicanes cela n’avait rien d’agréable.

    – John! Depuis quand avons-nous besoin de tout cet argent? Notre famille n’était pas assez bien comme cela?
    – Tu te fais des histoires! Un homme n’est pas un homme lorsqu’il ne rapporte pas assez d’argent pour faire vivre sa famille, maintenant tout est parfait!
    – Tu nous faisais très bien vivre! Et maintenant tu ne dors plus la nuit, tu n’es plus le même! Qu’est-ce qui se passe? D’où vient cet argent?
    – Laisse tomber! Je fais ce qu’il y a à faire!

    Voilà à quoi ressemblait les discutions entre notre mère et notre père. John ne répondait jamais lorsqu’il était question de savoir d’où provenait l’argent qu’il ramenait à la maison. La situation ne s’améliora pas, au contraire elle se dégrada totalement. Si au départ nous étions une famille heureuse, rapidement nous sommes devenus des gens nerveux. Sans savoir quoi exactement, nous nous attendions tous à une catastrophe. Et elle arriva. Un jour des gens frappèrent à la porte sans attendre de réponse. C’était le début de la fin.


PARCE QUE C’EST LOIN D’ËTRE TERMINÉ


    Notre père était paralysé par la peur. Il semblait savoir mieux que nous ce qui se passait. À ce que j’ai compris, il devait de l’argent, énormément d’argent à ses messieurs depuis un moment. Les affaires n’avaient pas été bonnes et il ne pouvait pas rembourser. Ils étaient venus lui faire la peau. À lui, mais également à toute sa famille…
    « Sachez que je ne suis pas mort cette journée là et que maintenant je connais parfaitement le déroulement de ce genre d’affaires. Peut-être parce que je suis devenu un tueur, je suis devenu précisément l’un de ses salopard qui ont fait la peau à ma mère et à mon père et qui ont traumatisé ma sœur, gâché mon enfance. Du moins, je ne suis certes pas aussi dégoutant, mais je suis aussi cruel j’imagine. » Ce que j’ai vu ce jour là me glace toujours le sang. J’ai vu mon père se faire assassiner devant mes yeux. J’ai vu ma mère se débattre pour nous cacher, avant de se faire elle-même tuer. Elle est parvenue à mettre ma sœur dans la remise et lui faire comprendre qu’elle ne devait pas sortir. Mais lorsqu’elle est venue pour me cacher également, elle avait voulu me mettre dans notre abri au sous-sol, vous savez, ce genre de pièce conçu contre les catastrophes? Sauf qu’elle n’a pas eu le temps de s’y rendre.

    « La suite? Je ne l’ai jamais raconté à qui que ce soit vous savez. Je ne suis pas en train de chialer, ça ne me fais plus cet effet là depuis longtemps. Plus depuis que j’ai gouté au meurtre pour la première fois en tuant le salopard qui lui a infligé ça… »

    Ma mère a été agrippée par l’un des hommes qui l’a frappé jusqu’à ce qu’elle se calme. J’étais également fou de rage mais un autre homme m’a maintenus et s’est arrangé pour que j’arrête de bouger. Je n’avais que douze ans, et pas la moindre chance contre la force du mastodonte. Ils m’ont forcé à regarder ma mère se faire violer. J’ai vécu là l’un des moments les plus atroces de toute ma vie. Ils l’on ensuite tuée, et m’ont jeté dans l’endroit où ma mère voulait me dissimuler. Ils ont toutefois bloqué la porte de l’extérieur.
    J’ai été plongé dans la noirceur la plus totale durant plus de quatre jours. Lorsque j’ai été retrouvé, j’étais comme mort. Les médecins disent que si je suis toujours vivant maintenant c’était à cause de ma volonté de survivre. C’est ma sœur qui m’a sauvé. Elle a finit par dire qu’elle avait un frère. Sans elle, je serais mort aujourd’hui. Je n’ai jamais eu l’occasion de la remercier. Nous avons été séparés. Elle a été adoptée et moi je n’ai pas eu cette chance là.


LORSQUE LE COEUR CRI VANGEANCE


    J’étais trop violent, trop agressif dans mes paroles pour qu’une famille ai envi de m’adopter. Ils ne voulaient pas me mettre avec ma sœur affirmant que mon comportement pourrait être copié par la gamine. C’était probablement vrai, de toute manière famille ou non, cela n’aurait probablement pas changé mon but. Depuis la mort des mes parent à l’âge de douze ans, je n’imaginais qu’une seule chose; faire payer ceux qui avaient tués ma mère et mon père. C’était une véritable obsession. Lorsque j’ai eu quinze ans, je me croyais assez fort et assez expérimenté pour pouvoir accomplir ma vengeance. Ce que j’ai fait. J’ai trouvé ses hommes et je suis parvenu à assassiner celui qui avait violé et tué ma mère. Je suis même parvenu à m’en sortir. Sans être tué ni arrêté. Un exploit.
    Avoir vengé ma mère m’a soulagé en un sens, sauf que je me suis rapidement perdu dans la merde que je venais de créer. J’ai rencontré un homme qui m’a pris sous son aile. Robert Grimes. À l’époque il gérait un bar. Il faisait également des affaires plutôt douteuses et moi c’était là que je devais intervenir. Il me montra diverses choses que j’assimilais rapidement. Je terminais mes études, j’ai toujours appris très rapidement et j’ai effectué quelques boulots pour lui. J’ai vécu ainsi durant quelques années. Ce n’était toutefois pas l’existence que je préconisais.


TOUT EST SOUVENT À RECOMMENCER


    Après quelques années à me concentrer uniquement sur mon boulot, j’ai rencontré une jeune femme fabuleuse. Sara Jenkins qu’elle s’appelait. Jamais personne n’aurait pu prévoir que moi et mon sale caractère l’on trouverait une femme qui saurais me supporter. Et bien pourtant je croyais l’avoir trouvée. Nous avons passé plusieurs mois de bonheur ensemble puis je l’ai demandée en mariage. Ce fut lors de notre lune de miel que j’ai arrêté d’aimer les femmes…

    « Je crois que j’ai trop bu… »
    – Mais non mon chéri … il faut se laisser aller.
    « Tu n’es pas aussi bourrée que moi, toi… »

    Non, puisqu’elle venait de me droguer. Elle me laissa m’endormir sur le lit et quitta la chambre en prenant bien soin de récupérer mon arme. Toutefois si je me suis retrouvé léthargique un bon moment, elle ne m’a pas donné la bonne dose. Je me suis redressé et je suis allé à sa rencontre. C’est une Sara étonnée que j’ai vu dans la cuisine de mon appartement…

    « Qu’est-ce … que… tu fais avec… mon arme… »

    Cette scène, je l’ai revue et je la revois encore. Je me souviens de l’état de faiblesse dans lequel je me trouvais. Surtout à quel point mon esprit était embrouillé. La bouteille de vin toujours à la main, j’étais perdu, tout simplement. Lorsqu’elle se retourna et qu’elle pointa mon arme vers moi, en fait, je ne compris pas encore où elle voulait en venir. Imbécile? Peut-être un peu, mais surtout drogué et amoureux… Sauf que lorsqu’elle a tiré sur moi, la dose d’adrénaline que j’ai reçue à cet instant m’a fait reprendre mes esprits.

    Cette pétasse allait me tuer si je ne sauvais pas ma peau. Elle m’a tiré une deuxième fois dessus et à cet instant j’ai perdu toute la rage qui m’avait envahi voilà quelques secondes. Elle avait fait place à une terrible incertitude. Je l’aimais terriblement, pourquoi celle avec qui j’avais imaginé ma vie, mon futur, mes enfants voulait-t-elle m’assassiner? J’ai finalement apprit qu’elle n’était rien d’autre qu’une prostituée qui recevrait un montant faramineux si elle m’explosait la tronche. Qu’elle ne m’avait jamais aimé… Je l’ai frappé et elle a explosé en sanglot. S’excusant et me faisant perdre une nouvelle fois toutes mes craintes à son sujet. J’étais amoureux à un point tel que je pourrais certainement me laisser tuer par elle. Sauf que lorsqu’elle m’a tiré dessus une nouvelle fois je n’ai pas hésité. Je me mis à la frapper à la tête avec la bouteille que j’avais toujours dans les mains. Je ne suis parvenu à la frapper qu’une seule fois. Elle s’est alors jetée dans mes bras, nous projetant tous les deux par terre vu que je ne tenais plus réellement debout. Nous avons brisés certaines choses au passage, dont un large miroir en longueur.

    Elle s’est de nouveau accrochée à moi en pleurnichant, disant qu’elle avait perdu la tête… Mais surtout qu’elle m’aimait. Je ne savais plus que croire, au fond, peut-être qu’elle avait été droguée aussi. Un raisonnement stupide, mais s’avouer que la personne que l’on aime le plus au monde est en fait une toute autre personne et qu’elle ne vous aime pas est particulièrement difficile…Alors que je cédais une nouvelle fois et qu’il n’y avait plus de balle dans son arme (ça je l’ignorais toutefois) Elle a mit la main sur un bout du miroir et elle s’est mise à me lacérer le dos… Cette fois, ma bouteille de vin s’est abattu sur elle à tellement de reprises que plus personne ne pouvait douter de sa mort… Je l’ai tenue contre moi, morte et ensanglantée durant des heures… moi-même au bord de la mort jusqu’à ce que mon associé me retrouve ainsi; Sur le sol, figé et avec Sara dans les bras. Morte. Belle et bien morte.


UNE NOUVELLE VIE QUI COMMENCE


    Les semaines qui suivirent la mort de Sara ne furent pas faciles pour personne. Je n’étais plus le même. Je ne pouvais plus supporter cet endroit. Je n’ai jamais été un homme très commode et agréable. J’ai passé près de deux ans à me chercher. J’ai quitté New-York et j’ai fais des choses que je n’aurais jamais osé faire auparavant; Voyager, apprendre des autres. J’ai découvert que je pouvais être un homme agréable lorsque je le désirais. Que je n’avais simplement pas fréquenté le bon milieu. Un jour, lorsque je venais d’entreprendre de m’installer à Chicago. L’on prit contact avec moi. Un homme qui m’apprit que ma sœur Jessika était décédée d’un cancer. Je ne l’avais jamais revue depuis la mort de nos parents. Il m’annonça également que j’étais sa seule famille et qu’elle avait laissée un testament me concernant. Je me rendis à l’endroit où elle vivait. Paris, en France. Elle n’avait pas uniquement laissé un testament en mon intention. Mais également deux jeunes personnes qui étaient mes neveux. Des jumeaux. Nathan et Ann-Sofie. Âgés respectivement de 16 ans. Auparavant ils n’avaient que leur mère, maintenant ils n’avaient que moi. Alors que nous ne nous étions jamais rencontrés. Je ne pouvais évidement pas les laisser. Mais je ne suis pas un père, je n’ai jamais eu d’enfants après tout. Il est à prévoir que les choses ne seront simples pour personne dans les temps à venir. Moi qui n’avais jamais eu un caractère très agréable je me retrouvais soudainement le tuteur de deux adolescents. Je décidai toutefois de relever le défi, et de prendre ma place dans cette grande ville. Heureusement, je parle Français, bien que j’aie un très fort accent anglais. Ma sœur enseignait l’anglais … L’on peut dire que j’ai pris une place importante dans la vie de ses enfants, mais également dans l’existence de d’autres personnes en remplaçant ma chère sœur…





Ce que vous pensez des white rabbits ? -
    Ce que je pense des Whites Rabbits? De jeunes imbéciles qui feraient mieux de se concentrer sur leurs études! Je les ai évidement comme étudiants et ils sont ceux qui me font regretter ma nouvelle existence. Toutefois, ils ne se frottent pas à un imbécile ni à un homme très… sensible. Adriel n’est pas exactement ce qu’il semble être selon moi. Un jeune homme qui aurait besoin d’une présence paternelle un peu plus complète. Qu’il ai ou non un père, c’est un incompétent si il en a un. Eraste n’est qu’un gamin indiscipliné qui aime en jeter. Mais est-t-il réellement aussi effrayant qu’il aime bien le montrer? Lisandre est selon moi le plus dangereux. Peut-être parce que je me vois un peu en lui et que je sais de quoi je suis capable… Je ne le connais pas énormément, mais je ne le lâche pas de vue. Dorante ne me semble pas très effrayant. C’est peut-être ce qui le rend plus mystérieux à mes yeux. Je ne le perds également pas de vue. Noah, que dire sur Noah? Je déteste son attitude, c’est réellement du mépris que j’ai pour ce gamin. Et Misha. Misha est une gamine bourrée de caractère et intelligente. Je me demande encore ce qu’elle fait avec cette bande d’imbéciles. Je suis leur enseignant depuis peu, mais j’ai compris que j’aurais souvent affaire à eux… Je me mêle peut-être un peu trop de leurs histoires, et j'ai l'impression que cela les agaces...

VOUS
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Carl J. Hyde
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MessageSujet: Re: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? EmptyDim 25 Avr - 16:45

    C'est complet x)
    Désolé pour l'Américain ... mais bon, j'adore ce foutu personnage, et c'est lui que j'avais envie de jouer bon T___T Niark, vous apprendrez à apprécier votre nouvel enseignant déplaisant et limite agressif x) Si ma fiche vous ennuies, c'est le dernier paragraphe de l'histoire qui explique pourquoi il est à Paris ^^


Dernière édition par Carl J. Hyde le Dim 25 Avr - 16:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? EmptyDim 25 Avr - 16:47

oh puniouse !
quelle vie ! o_o

(re)bienvenue à toi !
ta fiche est parfaite, tu auras l'honneur d'être le premier validé.
une chance que les profs ne puissent pas être placardés tiens ! è.é
quoi que... ça fera peut être l'affaire d'une intrigue tout ça mouhahahahaha !

validé !!
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MessageSujet: Re: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? EmptyDim 25 Avr - 16:50

    Et pourquoi les profs ne pourraient pas être placardés? x)
    J'ai bien l'intention d'être le plus chieur de tous les enseignants, vous m'aurez continuellement sur votre dos mes amis ... Cool
    Merci pour la validation!
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MessageSujet: Re: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? EmptyDim 25 Avr - 16:51

Ouais d'abord ! è.é Ils le seront dans peu alors o/

Je file créer un groupe pour les enseignants ! héhé.
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MessageSujet: Re: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? EmptyDim 25 Avr - 16:53

    Rolling Eyes Oups ... je commence déjà à te donner du boulot moi hein xD
    Met une jolie couleur ... sinon Twisted Evil
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MessageSujet: Re: CARL JOHN HYDE - who want a new life?   CARL JOHN HYDE - who want a new life? Empty

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